ne enfilade de 7 à 8 calèches patiente le long de la corniche. Nous prenons place dans l’une des carrioles. Comme chaque cocher, le nôtre ne déroge pas à la règle en nous présentant son « étalon » qui répond au sobriquet de « Ferrari ».
« Ferrari trotte donc fièrement dans les rues de la bourgade. C’est aussi l’occasion de se trouver au milieu de la circulation, d’observer les petites scènes de la vie quotidienne et de croiser quelques regards. Ici, une femme voilée, là un marchand de tomates ou encore cet autre cocher qui attend sans doute son client.
Programme de la journée
07h00 à 08h00 – Petit déjeuner
08h00 – Départ vers le Temple d’Edfou en calèche
Visite du Temple d’Edfou
vers 10h30 – Retour à bord.
Appareillage et navigation vers Kom Ombo.
13h00 – Déjeuner à bord.
Après-midi de repos à bord durant la navigation.
17h00 – Thé sur le pont.
vers 18h30 – Visite du Temple de Kom Ombo
20h00 – Dîner
Nuit à Kom Ombo.
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Bas-reliefs du pylône du temple d’Edfou
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Bas-reliefs du pylône du temple d’Edfou
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Porte d’entrée du temple.
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Cour intérieure du temple d’Edfou
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Cour intérieure du temple d’Edfou
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Visite du temple d’Edfou
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Combat sur le Nil entre Horus et Seth.
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Bas-relief dans la salle hypostyle du Temple d’Edfou
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Libation offerte à Horus et à son épouse Hathor.
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La déesse Seshat, avec son étoile, intervient lors de la construction d’un édifice. Elle en fixe l’orientation et veille à l’exactitude du tracé.
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Colonnes papyriformes de la salle hypostyle d’Edfou.
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Cartouche royal entre Nekhbet, déesse vautour de la Haute Egypte, coiffée de l’Atef et Horus à corps de lion portant la double couronne.
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Reconstitution de la barque d’Horus sur son reposoir, dans le sanctuaire.
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Proue de la barque d’Horus devant le Naos dans le sanctuaire d’Edfou.
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Colonne papyriforme dans la salle hypostyle du Temple d’Edfou.
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Colonnes papyriformes de la salle hypostyle du Temple d’Edfou.
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Frise des babouins dans le Temple d’Edfou.
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Khaled, notre guide donne des explications sur le temple ptolémaïque d’Edfou.
Le Pharaon Ptolémée entouré par les divinités qui lui octroient « longue vie » (la clé de vie Ânkh).
De gauche à droite: Thot, le dieu Ibis, la déesse Hathor, épouse d’Horus, le roi Ptolémée couronné du Hemhem, la déesse lionne Sekhmet et Haraëris coiffé du pschent, la double couronne symbole des royaumes de Haute et Basse Egypte unifiées. A l’extrême droite on distingue le sceptre « ouas » qui confère puissance et autorité à celui qui le porte.
La particularité du Temple de Kom Ombo réside dans sa double dédicace. Il est pour moitié dédier à la divinité crocodile Sobek (dieu des eaux, des crues du Nil et associé à la fertilité des terres) et pour l’autre moitié au dieu faucon Haroëris (Horus coiffé du pschent, la double couronne de Basse et Haute Egypte).
Pour en savoir davantage sur Sobek, lisez notre article « Sobek – La momie d’un crocodile de quatre mètres passée au scanner »
Le Temple de Kom Ombo possède quelques bas-reliefs intéressants, comme celui ci-dessous qui présente une sorte d’inventaire d’instruments chirurgicaux probablement développés grâce à la pratique de la momification. L’équipement complet de la salle d’opération de l’Egypte ptolémaïque.
a visite du temple touche à sa fin. Il nous reste encore, malgré l’obscurité, à jeter un coup d’oeil, assez rapide, au Nilomètre et à visiter le petit musée qui présente une série de crocodiles momifiés.
Lors de notre passage, les photos y étaient interdites.
Pour plus d’informations sur les crocodiles momifiés, voyez notre article « Sobek, la momie du dieu crocodile ».
Mais, il est bientôt 20h au cadran de ma montre. Il est temps de rejoindre le Steam Ship Sudan où l’on nous attend pour passer à table.
Après le repas, la soirée s’achèvera au salon où chacun se repassera les clichés de notre escapade nocturne et mettra un peu d’ordre dans ses souvenirs.
Après le repas, la soirée s’achèvera au salon où chacun se repassera les clichés de notre escapade nocturne et mettra un peu d’ordre dans ses souvenirs.