hez les messieurs, un noeud central surmonte un pli creux nécessaire au confort de l’entrejambe. J’ai décidé de rédiger un article sur le sujet. Je laisse à Eddy le soin de prendre en photo cette partie couverte, mais sensible de l’anatomie masculine.
Installée au carrefour, j’observe le noeud, en douce. On y cache de l’argent et les fameuses chiques de bétel. Mais on y trouve aussi les objets les plus divers : clés, parapluie, sac, portefeuille, documents, GSM, DVD, …
Sur les marchés, certains commerçants gardent leur recette du jour dans un sac en plastique accroché au longyi. A chacun son style!
Un peu plus loin, installé sur une banquette, pour déguster un bol de soupe dans une gargote, un client glisse son portefeuille à l’arrière de son longyi, car cette pièce de tissu ne possède bien sûr pas de poche.
Les ventripotents le portent au-dessus ou en dessous du ventre. Chez eux, le noeud est souvent petit par manque de tissu.
Chez les plus minces, la fermeture est parfois sophistiquée au point de comporter plusieurs noeuds.